Ton odeur, se blottir contre toi
Me manque à mentir contre moi.
Ton sourire, se réjouir dans le silence
De la présence, à réussir à rire
Dans le manège quotidien des petits riens.
De la présence des absents,
Il ne me reste que des souvenirs d’errances,
Des étoiles d’espérance, des images s’effaçant au soleil levant.
Des rivages aux voiles immobiles, miroirs de la vérité futile.
Amour vivifiant et désarmant, m’ignorant, mon cœur se déchire de n’être qu’un navire
Pour un arc-en-ciel embrassant le firmament, j’espère être plus que ça pour toi.
Je me sens ramassée, ramassis d’âneries, à côté de tes intérêts,
Pourtant toujours prête à t’aider.
L’eau trouble de mes pensées me trouble.
Les vagues d’émotions s’effacent sur le sable, ineffable, effaçable.
La mémoire est fragment de ces quelques moments si agréables.
Althea